lundi 23 avril 2018

La guerre raciale est à nos portes

Après les réaction aussi colériques et déplacées de la part des autorités maliennes à l'encontre de notre pays, voici que notre très valeureux directeur d'études au ministère de l'intérieur M.Hassan Kacimi, à indiqué que 58000 migrants subsahariens se sont rendus coupables de crimes divers sur notre terriotoire. Le peuple algérien doit s'apprêter à se préparer à la guerre, les nègres nous déclaret la guerre, une guerre sourde, souterraine, et avec la complicité des associations antiracistes et pro-migrants (en tête Amnesty International et Human Right Watch). Nous devons nous occuper de ces harkis, et de faire comprendre à la vermine subhareinne qu'elle n'est pas la bienvenue chez nous!


Le directeur d'étude au ministère de l'intérieur et des collectivités locales, M.Hassan Kacimi a indiqué, lundi, que plus de 56000 migrants subsahariens ont été condamnés par la justice algérienne ces dernières années pour différents crimes et délits. Parmi ces migrants clandestins condamnés figurent 3000 Maliens, 20000 nigériens et 8000 de nationalités inconnues.
M.Hassan Kacimi, qui s'exprimait sur les ondes de la radio nationale, a rappelé que l'on assiste quotidiennement à l'arrivée de 500 migrants par jour à tel point que dans certaines localités frontalières algériennes sont confrontées à une modification de la composante sociologique de sa population citant l'exemple de la région de Bordj El Houas dans la wilaya d'Illizi frontalière avec le Niger où l'on compte pas moins de 8000 subsahariens essentiellement des nigériens.
Le même  responsable a révélé que dans la région  d'Agadès (Niger) quelque 7000 passeurs de migrants activent et cumulent jusqu'à 140 millions d'euros par an en participant à ce flux massif  de migrants sur le sol algérien.  Ces réseaux de passeurs se sont transformés en organisations armées et recourent à tous les moyens pour faire traverser la frontière algérienne à des milliers de subsahariens affluant de différents pays du Sahel.
Pour le représentant du ministère de l'intérieur, l'Algérie est aujourd'hui est une victime dans ce trafic en plus d'une campagne féroce visant sa stabilité. Il  a souligné que depuis quelque temps de graves accusations sans fondements sont lancées contre l'Algérie au nom des organisations humanitaires allant jusqu'à évoquer de "profilage ethnique" pratiqué pendant la seconde guerre mondiale par les nazis. 
L'ingérence humanitaire  sous couvert de défense des droits des migrants se fait par étapes, selon le même responsable, en rappelant qu'avant le "profilage ethnique" on nous accusait de "maltraitance, de déportation, d'expulsions massives, de rafles, de violences et d'emprisonnement de migrants.


3 commentaires:

  1. Il faut en finir avec cette peste négroïde !!! Il faut en finir cette UA judéo-mondialiste !!! Mais il faut aussi en finir avec ce panafricanisme hérité des années 60 et 70 et le mettre dans la poubelle de l'histoire, terminé !

    Sieg Heil Kamarade Kaci! 14/88.

    Mimoune.

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  2. la solution a ce probleme est pas politique, il est militaire. S'engager dans l'armée pour chasser les envahisseurs!!

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  3. On ne croit plus qu'il s'agit d'une solution politique pour renvoyer ces criquets chez eux qui s'accrochent avec mains et pieds à nos terres algériennes du Sud au Nord et de l4est à l'Ouest. L'invasion programmée est bien confirmée, il faut une guerre pour chasser ces colons subsahariens du territoire algérien où ils ont trouver toutes les conditions favorables pour s'y fixer malgré la colère du peuple contre eux, c'est de l'insolence qu'on n'apprécie pas sans citer leurs crimes, trafics, banditisme, escroqueries, falsification .....

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